Séance du jeudi 12 décembre 2024
14 décembre 2024 par Richard CARRE
Classé dans Actu Reflets et Echos, Analyses, Séances
Thème : Analyse d’images projetées « Sortie Brochon 2024 et fête de la musique 2023 »
Animateurs : Eric VINCENT
Participants : 10
Eric nous donne une info de premier ordre :
━ Rendez-vous jeudi 19 décembre vers le sapin, place de la libération à 18H00
Puis, nous assistons à la projection des 47 photos sur le thème « Sortie Brochon 2024 et fête de la
musique 2023 ».
Au regard de la surpopulation, les clichés ont fait l’objet d’une analyse d’images rigoureuse et très détaillée
par l’ensemble des participants afin de parfaire notre regard de photographe et progresser dans nos prises de vue.
Ensemble des photos visible sur le site Flickr du club… visitez-le et commentez….
Une bonne soirée passée ensemble.
A vos commentaires.
Patricia
Share on FacebookSéance du jeudi 05 décembre 2024
9 décembre 2024 par Richard CARRE
Classé dans Actu Reflets et Echos, Analyses, Séances
Thème : Analyse d’images projetées « Au ras du sol »
Animateurs : Eric VINCENT, Serge ROBERT, Philippe ROCHAIS
Participants : 14
Eric nous donne quelques infos :
━ La séance est consacrée à poursuivre les critères d’acceptation pour ce thème
━ Prochainement, aura lieu un cours sur le flux du post traitement avec Lightroom
━ Jeudi 09 janvier : rentrée avec les vœux de notre Président et partage de la galette
━ Jeudi 27 février : remise des photos pour l’expo avec l’affichette bien remplie !
━ Sinon, retour à l’expéditeur…
Serge nous présente Patrick Demarchelier, né le 21 août 1943 à Eaubonne et décédé d’un cancer
le 31 mars 2022 à Saint-Barthélémy.
C’est un photographe portraitiste, de mode et de publicité.
Il est éduqué avec ses quatre frères par sa mère divorcée.
Autodidacte, il s’initie à la photographie à l’âge de dix-sept ans avec un appareil photographique de
marque Kodak offert par son beau-père pour son anniversaire.
Parallèlement à ses études, il travaille chez un vendeur de savon, tout en consacrant son temps disponible
à la photographie.
À l’âge de vingt ans, il s’installe à Paris et obtient un emploi dans les laboratoires de l’agence Publicis.
Gagnant toutefois rapidement son indépendance professionnelle, il affirme un nouveau style de
photographie artistique de mode : des images désinvoltes et pétillantes.
Ses premières photographies honorent des commandes pour les magazines Elle, Marie Claire et 20
ans ou Nova, au début des années 1970.
En 1975, il s’installe à New York où il ouvre son propre studio.
Il réalise les calendriers Pirelli de 2005 et 2008.
Ses séries de mode sont régulièrement publiées dans divers magazines à travers le monde. Cette
omniprésence fait de lui un des hommes les plus influents de la mode dans le monde entier et l’un des
photographes les mieux payés.
En février 2018, Patrick Demarchelier est mis en cause par des femmes l’accusant de harcèlement sexuel.
Dans les années qui suivent et jusqu’à sa mort en 2022, aucune procédure judiciaire n’est entamée à son
encontre, il réfute ces accusations.
Puis, nous assistons à la projection des 62 photos sur le thème « Au ras du sol » commentées « d’une
main de maître » par Philippe Rochais.
Les clichés très variés ont fait l’objet d’une analyse d’images rigoureuse et très détaillée, bénéfique pour le
bien de tous.
Une bonne et longue soirée passée ensemble. Comme les photos visionnées concernaient la prochaine expo elles ne seront pas sur le site Flickr.
A vos commentaires.
Patricia
Share on FacebookSéance du jeudi 28 novembre 2024
1 décembre 2024 par Richard CARRE
Classé dans Actu Reflets et Echos, Analyses, Séances
Thème : Analyse d’images projetées « Sujet photo commençant par A »
Animateurs : Richard CARRE, Serge ROBERT
Participants : 17
Richard débute cette séance par quelques infos :
━ Eric VINCENT absent pour maladie
━ Expo du moment à AHUY les 07 et 08 décembre : les rencontres aqueduciennes.
━ Report de la séance studio au premier trimestre 2025
Serge nous présente une photographe américaine Sally MANN, née le 1 mai 1951 à Lexington,
Virginie, États-Unis.
Ses sujets de prédilection sont les membres de sa famille et ses amis proches, la nature qui l’entoure et
particulièrement les paysages de Virginie ou le rapport au vivant et à la mort.
Jouant sur des contrastes profonds, elle photographie le plus souvent en noir et blanc. Elle réalise ses
prises de vue surtout en extérieur, la plupart du temps dans sa grande propriété à Lexington, isolée dans
les bois des montagnes Blue Ridge.
Elle utilise le plus souvent pour ses photos, un appareil à soufflet 8×10 vieux de 100 ans, qui, de son point
de vue, adoucit le résultat et rend les clichés intemporels.
Une de ses séries a déclenché des controverses, lui reprochant d’avoir utilisé ses trois enfants, parfois nus,
comme modèles.
Série At Twelve Portraits of Young Women publiée en 1988
Série Immediate Family publiée en 1992
Série Still Time publiée en 1994
Série Proud Flesh publiée en 2009
Puis, nous assistons à la projection des 62 photos sur le thème « Sujet photo commençant par A ».
Les clichés très variés ont fait l’objet de commentaires amusants …Vous pouvez voir ces photos sur notre site Flickr et commenter
Encore une bonne soirée passée ensemble.
A vos commentaires.
Patricia
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Séance du 31 Octobre 2024
4 novembre 2024 par Richard CARRE
Classé dans Actu Reflets et Echos, Analyses, Séances
Thème : Analyse d’images projetées « Les signes du temps »
Animateur :Eric VINCENT
Participants : 18
Eric débute cette séance par quelques infos :
La semaine prochaine : Edouard BARRA nous parlera « de portrait et de lumière »
Jeudi 14 novembre : Philippe ROCHAIS nous présentera « couleurs et synthèses additives »
Jeudi 21 novembre : Yannick CLUNET et Philippe BOREL « studio, mise en application des deux
semaines précédentes »
Expo du moment : « des floraisons au Japon » à Latitude 21 du 04 novembre au 04 décembre, Espace
Baudelaire, 27 Ave Charles Baudelaire - Dijon
Puis, nous assistons à la projection des 64 photos sur le thème « Les signes du temps ».
Une séance richement documentée avec des commentaires amusants et parfois inattendus…
Encore une bonne soirée passée ensemble.
Toutes les photos sont à voir sur notre site Flickr et vous pouvez commenter !! , merci !
Patricia
Share on FacebookSéance du 26 septembre 2024
30 septembre 2024 par Richard CARRE
Classé dans Actu Reflets et Echos, Analyses, Non classé, Séances
Thème : Expo 2025 « au ras du sol »
Animateur :Eric VINCENT
Participants : 17
Eric nous donne quelques infos :
Rappel des expos photos en cours et à venir, voir mails « info » de Richard envoyés à tous
Samedi 05 octobre : Le Leuzeu; Portrait en plein air
Projection des images de la semaine dernière non diffusées sur le thème des photos d’été.
Serge nous présente une photographe américaine.
LEE MILLER, née Elizabeth Miller le 23 avril 1907 à Poughkeepsie dans l’État de New York aux États-Unis et
décédée le 21 juillet 1977 à Chiddingly dans le Sussex de l’Est en Angleterre, est une photographe et
modèle photo.
Née dans une famille privilégiée et cultivée aux opinions progressistes, elle est marquée par un viol subi à
sept ans et une maladie douloureuse qui s’ensuit. Elle entreprend en 1925 des études de théâtre et d’arts
plastiques à l’École nationale supérieure des beaux-arts puis à New York à partir de 1927, elle pose pour
des photographes, dont son père mais aussi, Edward Steichen ou George Hoyningen-Huene. Elle travaille
comme mannequin pour le magazine Vogue.
Des studios de Vogue aux camps de la mort …
Durant l’été 1944, elle devient correspondante de guerre au sein de l’armée américaine.
Elle témoigne, par l’image mais également par le texte puisqu’elle commente ses photographies sur la vie
quotidienne des soldats. Après être passée par les Pays-Bas, elle découvre en avril 1945 les camps de
concentration de Buchenwald et Dachau.
Ses photographies, dont celle de deux soldats ouvrant en pleine clarté un camion rempli de cadavres
entassés, sont les premières à révéler le concret de l’horreur des camps. Il lui faudra écrire à Vogue et
certifier que les clichés sont authentiques, pour que le magazine les publie
Mais elle ne rentre pas chez elle à la fin de la guerre ; minée par un passé d’abus sexuel et un syndrome
post-traumatique, elle sombre dans l’alcool et la dépression. Elle poursuit une errance en l’Europe centrale
jusqu’en janvier 1946, photographiant la dévastation puis finit par retourner à Londres.
Lee Miller meurt chez elle d’un cancer le 21 juillet 1977 à l’âge de 70 ans.
Après sa mort, elle laisse 60 000 photographies dans des cartons entreposés à Chiddingly.
Puis, Richard nous projette les 65 photos sur le thème du jour.
Celui-ci suscite de nombreux commentaires et remarques.
Eric retranscrit, ci-dessous, les critères à prendre en compte pour la réalisation des photos : « Au ras du sol »
Lors de la fixation du thème, nous avions convenu d’un principe : c’est le point de vue depuis le sol que
nous recherchons. C’est donc l’appareil qui est au ras du sol.
L’examen de nos photos a suscité un riche débat qui nous a permis de tirer quelques idées complémentaires :
Le simple fait de mettre l’appareil au plus près du sol ne suffit pas à produire l’effet « ras du sol » !
L’effet se marque par des perspectives inhabituelles, faussées, dues à une certaine contreplongée.
Pour que cet effet soit sensible, il doit y avoir des plans étagés, une profondeur d’image, avec un
premier plan suffisamment proche. Un sujet éloigné, frontal, ne produit pas l’effet escompté.
La prise de vue en grand angle accentue cet effet de perspective.
Bien sûr, il faut que le sol soit visible ou au moins suggéré au bas de l’image. Attention pourtant à
ce qu’il ne prenne pas une place excessive.
Géométriquement, le fait d’être en contreplongée se marque logiquement par une part de ciel, si le
champ est entièrement occupé par le sol, c’est le signe que l’appareil vise vers le bas. C’est donc à éviter.
Mais d’autres situations peuvent donner aussi un effet « ras du sol » :
Un sujet de petite taille, au sol, photographié à hauteur peut donner cet effet. Un escargot, une
plante de petite taille, par exemple. L’important est que le spectateur se sente lui-même au ras du
sol, c’est la scène toute entière qui est au sol.
Au second degré, l’effet « ras du sol » peut naitre d’une situation inhabituelle, telle que l’avion en
rase-motte, trop près, surtout si le public apparait en premier plan. L’appareil photo n’est pas au sol,
mais la scène suggère une proximité du sol inattendue dans ce contexte.
En conclusion : ce qui compte n’est pas l’exactitude géométrique, mais l’effet produit sur le spectateur.
Il doit se sentir petit, couché par terre. La scène vue doit sortir de l’ordinaire par sa perspective ou par sa
proximité avec un monde invisible du haut de notre taille.
Merci à tous les auteurs pour cette bonne participation.
A vos commentaires nombreux si possible !
Patricia
Share on FacebookSéance du 19 septembre 2024
24 septembre 2024 par Richard CARRE
Classé dans Actu Reflets et Echos, Analyses, Séances
Thème : nos « photos d’été »
Animateur :Eric VINCENT
Participants : 17
Eric débute cette séance par quelques infos :
La semaine prochaine : projection des photos pour le thème de notre expo « au ras du sol »
Différentes expos ont lieu en ce moment - voir les mails « info » transférées par Richard à tous
Puis, nous assistons à la projection de 73 « photos d’été ».
Une belle occasion de découvrir des images originales et variées d’ici et d’ailleurs …
Un bon moment passé ensemble avec des commentaires souvent pertinents.
Vous pouvez voir toutes les images sur notre page Flickr …et laisser des commentaires .
Patricia
Share on FacebookSéance du jeudi 6 juin 2024
10 juin 2024 par Richard CARRE
Classé dans Actu Reflets et Echos, Analyses, Séances
Thème : Analyse d’images projetées « Photos de rue »
Animateur : Philippe Rochais
Participants : 14
Philippe nous rappelle :
Jeudi 13 juin : sortie autour de Brochon, ne pas oublier votre appareil photo !
Jeudi 20 juin : Assemblée générale à 20H30, présence obligatoire, une fois n’est pas
coutume ! ou se faire représenter !
Puis, nous assistons à la projection des 61 photos.
Philippe en profite pour nous repréciser les critères de ce sujet : le cliché doit-être pris dans la rue avec, au
moins, un personnage ou un animal vivant et qui raconte une histoire…
Il procède à leur analyse agrémentée de nos commentaires.
Une minorité d’entre elles n’était pas dans le thème malgré la qualité de la prise de vue.
Nous avons pu apprécier de très belles photos en couleur et en noir et blanc et de magnifiques lieux !
Toutes les photos sont visible sur le site Flickr du club regardez et commentez!!
A vos commentaires.
Patricia
Share on FacebookSéance du jeudi 23 mai 2024
5 juin 2024 par Richard CARRE
Classé dans Actu Reflets et Echos, Analyses, Non classé, Séances
Thème : Analyses : Photos panoramiques
Animateur : Eric Vincent
Participants :12
Eric nous rappelle nos prochaines séances :
Jeudi 30 mai = séance studio
Jeudi 06 juin = images projetées sur le thème « photos de rue »
Jeudi 13 juin = sortie photos à Brochon.
Sans oublier les expos à découvrir :
Espace Baudelaire à Dijon : du 02 mai au 08 juin, Pascal Reydet « le chaos des songes »
Arc sur Tille : du 01 au 02 juin, Club peintures & photos « à la manière de »
Concours photos de Beaune sur le thème « les travaux de la vigne et de cave »
o Exposition du 02 août au 22 septembre à la cité des climats
Serge nous présente le photographe mexicain, Manuel Alvarez Bravo, né à Mexico le 04/02/1902.
Il est surtout connu pour créer des juxtapositions inattendues qui capturent l’atmosphère
sociale et politique de son pays et qui sont un parallèle avec le travail des surréalistes en
Europe.
En 1918, il étudie à l’Academia Nacional de Bellas Arts de Mexico City, et est influencé par
des photographes européens, comme Edward Weston et Henri Cartier-Bresson, tous trois
partagent le même intérêt de vouloir présenter une nouvelle idée du banal à travers la
photographie.
Il grandit durant la révolution mexicaine et se familiarise avec le mouvement muraliste
indigène, ce qui conduira son langage photographique à se concentrer sur ce qui l’entoure
ainsi que sur son héritage culturel.
À travers Ladder of Ladders (1931), il crée une composition suggérant une ascension
spirituelle avec des échelles, des cercueils et un phonographe.
Dans The Crouched Ones (1934), il représente un rang de travailleurs, assis sur des
tabourets de bar et qu’on ne voit que de dos, une ombre cachant leurs têtes et une chaîne
entourant leurs pieds.
À partir des années 1940, il photographie une série de paysages qui témoigne du terrain
naturel du Mexique en utilisant un grand angle, rappelant celui du cinéma. Une grande
rétrospective a lieu au Norton Simon Museum de Pasadena en 1971.
Son travail figure actuellement dans de nombreuses collections, notamment celles du J. Paul
Getty Museum de Los Angeles, du Museum of Fine Arts de Houston et du Met de New York.
Il décédera le 19/10/2002 à l’âge de 100 ans après 80 années d’activité photographique.
Puis, Richard nous projette les 50 photos sur le thème du jour.
Celui-ci nous permet d’admirer de magnifiques paysages (mais pas que !) et de « voyager » aussi bien en
France que dans des pays lointains.
Merci à tous les auteurs qui ont joué le jeu, malgré un thème pas facile à mettre en œuvre.
A vos commentaires nombreux si possible ! Les photos sont à voir sur notre site Flickr et vous pouvez commentez,
Merci
Patricia
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